Afin d’aller droit au but, et d’être clair, si cela ne l’était pas assez.
On a pu voir ça et là, des réactions s’opposant en partie ou en totalité à la démarche d’Equitalgérie, mais elle parait plus sentimentale qu’objective.
Tout en respectant l’avis des personnes, je respecte la démarche d’Equitalgérie qui n’est pas là pour défendre ou attaquer une personne, encore une fois, mais un cadre. C’est l’absence de ce dernier, qui mène à toutes ces dérives.
Certains font un appel à la raison, mais serait-ce raisonnable de se taire devant le déraisonnable ?
D’autres disent qu’il y a du bon et du mauvais, et qu’il faut garder le bon et améliorer le mauvais. Oui, bien sur, mais quel est ce bon, et quel est ce mauvais, et comment y arriver ? Par quel biais, quelle structure, quel moyen ? Si c’est juste en parler autour d’un verre entre potes, et passer à autre chose sans concrétiser les idées retenues, ce n’est pas raisonnable non plus !
D’autres oublient que nous sommes affiliés à une fédération, et avant tout citoyens, et que du coup nous avons des responsabilités, des devoirs, et un droit de regard…
On dit que le Maroc est passé par là, que le Maroc aussi accorde la gratuité des inscriptions. Mais je ne pense pas qu’au Maroc les étrangers ont tout gratuit, et les nationaux tout payant.
On en est réduits, en pleine festivité du 1er novembre, avec l’argent du pays, les sponsors du pays, les 500millions de la fédération, demander l’égalité entre les algériens et les étrangers dans leur propre pays.
On dit que personne ne demande des comptes au Roi du Maroc, et que du coup, pourquoi demander des comptes au bureau fédéral. D’abord je ne suis pas pour la royauté, mais il ne faut pas oublier que le bureau fédéral est composé d’élus.
A ces opposants d’Equitalgérie, je leur dis que certains sont de bonne foi, même avec des avis différents, mais que d’autres, sont aussi dans le conflit d’intérêt. Certains sont sincères, mais sont loin de représenter la majorité.
Après une succession d’articles et de positionnements, nous avons atteint la fin de la première phase. La deuxième phase vient de commencer.
Quand j’étais affaibli et menacé de voir ma licence retirée, personne n’a levé le petit doigt pour moi, face à ces faits. On ne vous accorde même pas le droit de connaitre les statuts de la fédération, mais vous trouvez cela normal. Il n’y a aucune possibilité de dialogue ou de recours, et vous appelez à la raison ?
Oui, aujourd’hui, chaque semaine des gens sont appelés, pour ne pas dire chaque jour, en croyant m’affaiblir en faisant le vide autour de moi, alors que personne n’était contacté avant. Cela aura servi au moins à ça.
Certains demandent que le linge sale soit lavé en famille. Je ne crois pas que j’en ai parlé à d’autres que des algériens, mais d’un autre côté, je vais en parler à la majorité des algériens, en utilisant les moyens légaux.
Je tiens juste à vous dire que cette affaire de bureau fédéral est loin d’être terminée, et que les prochains jours vous en apporteront les preuves.
Juste un dernier détail, et comme dit précédemment, l’article publié dans un certain journal et qui a fait tant mal à Mr Metidji, n’est pas de moi. J’assume ce que je dis, tout ce que j’écris, mais pas les écrits des autres.
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