Beaucoup de gens ont dépensé leurs énergies, en critiques, attaques, voire insultes, depuis l’arrivée à la fédération de l’actuel président, ignorant des choses de l’équitation, et de l’intimité du cheval.

Alors critiquer pour critiquer, critiquer par réflexe, par bêtise, par jalousie, parce que la fédération n’a pas été au service de son égo et de ses intérêts personnels, ou critiquer pour avancer, et dénoncer l’absence de vision, de clarté, de dynamique.. ?

Dans les deux catégories de volonté de critique, un moment ou un autre, on bute sur les propositions. On se dit, ok, on sait que ce n’est pas bien, mais alors, que faut-il faire ? Qui va-t-il se risquer de prendre sa place, pour appliquer quelle approche ? C’est ainsi qu’en toute logique, il y a lieu de sortir des revendications stériles, et s’ouvrir aux idées. Certaines seront mauvaises, d’autres inapplicables, mais de nombreuses trouveront leur sens, pour peu qu’on sorte de l’égoïsme et des calculs d’intérêt personnel auxquels le bureau fédéral nous a habitué.

Pour le développement, il faudra aller chercher dans le détail, les actions à mener, dans le cadre de la formation des formateurs, des équipes nationales, mais en attendant…

Dans tous les pays du monde, il y a cette volonté d’ouverture, de vouloir aller voir ce qui se passe ailleurs, et dès leur jeune âge, les jeunes dans les pays développés, s’organisent pour aller voir ce qui se passe dans d’autres pays. C’est ainsi que des suisses vont en Irlande, des français en Allemagne, des belges aux USA… Chez nous, soit les jeunes n’ont pas les moyens, soit ils sont choisis « b’el MAARIFA » au moment des échéances, et parfois même partent en secret…

Pourquoi ne pas instaurer une tradition, qui fait que chaque année, par exemple, les 5 premiers du championnat juniors sont aidés à partir pour 3mois ?

On décide en début d’année par exemple que le championnat juniors a lieu en avril ou en mai, ce qui laisserait le temps de connaitre les lauréats, et de préparer leur départ, pour l’organisation, les billets, les visas, les séjours…

Il y a moyen, en Europe, de trouver des écuries, qui prendraient en charge des stagiaires. Travail, contre gite. Nos jeunes apprendraient à être autonomes, à voir du monde, à découvrir d’autres façons de faire, des langues, mais surtout à monter à cheval, apprendre le métier, et s’enrichir de belles expériences.

Espagne, Italie, France, Belgique, Suisse, Luxembourg, Allemagne, Irlande…

Cela donnerait une motivation, surtout que c’est connu d’avance, en transparence, et des candidats régulièrement renouvelés, car la limite des 18ans est là pour empêcher que ce soit toujours les mêmes qui en bénéficient, fussent-ils les meilleurs…

On pourrait y ajouter comme contrainte, la condition de réussir à ses études durant l’année, pour plus motiver nos jeunes. Les candidats qualifiés, auront droit à un petit stage d’explications  pour affronter les mondanités et connaitre les règles de bon usage, ainsi qu’une formation pour les soins et le travail des chevaux, afin d’arriver avec un minimum de connaissances, les rendant recherchés et bien accueillis par ces écuries.

Cela couterait juste l’effort du contact, la volonté politique de développer le sport, jusque-là absente.

Les billets d’avion pour 5 cavaliers coutent bien moins cher que de ramener 50 chevaux étrangers pour un CSI privé.

Pour les visas, la fédération devrait être en mesure de les obtenir, sans avoir recours aux relations personnelles du président auprès des chancelleries des pays dont il défend les intérêts.

Mais bon, encore une fois, même si pareilles idées sont peu couteuses et porteuses d’un développement, elles ne le sont que pour les petits algériens, et pas pour les français, donc pas vraiment utiles selon certaines conceptions et concepteurs.

A moins que tout ceci n’est que méchanceté, et que l’absence d’initiative pour développer l’équitation comme stipulé dans les prérogatives de la fédération ne soit dû qu’au manque de temps qui fait cruellement défaut à Mr Zoubir ? Mais alors que fait-il à la tête d’une fédération ? Fonction qui nécessite un quasi temps plein…

On comprend dès lors son recours au personnel de la fédération ! Qui pour surveiller ce qui se dit sur facebook, qui de gérer les chevaux personnels dans les champs de courses…

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