Je tâcherai de peser mes mots!
Je ne suis pas égoïste, je ne suis pas individualiste, et les personnes qui soutiennent l’action qu’EQUITALGERIE mène, ne serait-ce qu’avec la bonne intention, m’aident, m’orientent, me renforcent. Cependant, au niveau de la motivation, si je devais rester tout seul, je ne m’arrêterai pas !
Au lieu d’essayer de trouver des solutions dans le rapport de force, la peur à infliger à certains et la corruption à d’autres, il serait plus opportun d’aller vers la négociation de l’avenir de l’équitation.
Il ne sert à rien de se cantonner dans ses frustrations, les débordements d’un égo apparemment trop malmené, ou quelque attitude d’échappatoire, à un moment donné il faudra faire face.
L’inertie étant là, il faudra fournir des efforts pour inverser la vapeur, car les choses en place ne s’arrêteront pas toutes seules, et il sera de plus en plus difficile de réparer. Personne ne pourra me reprocher de n’avoir pas averti.
PREMIEREMENT, sans préalable et sans discussion aucune, il y a lieu de rétablir certains droits non-négociables, comme rendre accessibles les statuts, les bilans, les rapports, et déclarer les autorisations de monter comme un droit.
DEUXIEMEMENT, et pour des raisons d’équité, permettre aux cavaliers algériens de se sentir toujours indépendants en ce 1er novembre 2016, et leur accorder les mêmes avantages que les cavaliers étrangers.
TROISIEMEMENT, pour des raisons éthiques, il ne doit plus y avoir de cavalier étranger qui monte en compétition internationale des chevaux algériens appartenant au président de la Fédération Equestre Algérienne. Nous savons que « Sarl Meditra De International » a été utilisé comme nom de propriétaire au cheval TIBETIN DES FORETS monté par Fabrice Paris au CSI de Vittel. Le personnel et partenaires commerciaux du président de la fédération, et/ou membres du bureau fédéral, ne devront pas être recrutés pour des missions fédérales, le signes du conflit d’intérêt étant trop évidents. Ces dernières mesures, devraient assainir l’atmosphère, et permettre un début de collaboration correcte et concrète, afin d’évoquer les vrais problèmes, et des débuts de solutions.
Le débat devra se faire en présence de divers acteurs bien répertoriés, et non pas en tête à tête, laissant croire à des arrangements contre nature, et jetant le discrédit sur les négociants et les négociations.
A partir de ce moment-là, vous me trouverez tout à fait disposé à échanger, bien sûr, dans un cadre organisé, selon les règles démocratiques.
En attendant, libre à chacun d’accepter ou refuser, de juger ou de ne même pas se sentir concerné.
Libre à ceux qui le souhaitent aussi, de s’inscrire dans une démarche d’information et/ou d’opposition, dans le respect et la légalité cela s’entend.
Quant à l’épisode du livre à 2milliards 600 millions, il constitue un fait à part, qui nécessitera une démarche appropriée…
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