Un document nous est parvenu sous forme de message, pour louer les bienfaits du sieur Metidji quant à son intervention concernant les chevaux affamés de Annaba. Cette lettre parlait au nom des cavaliers, mais aucunement signée par le président du club.
Comment se fait-il qu’il ait fallu attendre la mobilisation de la famille équestre qui a réagi pour faire face à la situation des chevaux affamés, pour que le tintamarre se mette en branle, et voit une commission fédérale se déplacer sur les lieux ? Cela prouve l’ignorance du bureau fédéral de la situation des clubs… Ensuite, pourquoi la conclusion mène-t-elle à l’intervention personnelle du sieur souvent cité, et qu’il mette la main à la poche pour payer quelques ballots de foin ? Tout cela prête à penser qu’il ne s’agit là que d’une opération COM d’un président en perte de vitesse.
Si on se tient aux budgets prévisionnels de 2017, nous avons plus de 18 milliards par CSI chez Metidji, donc 366 000 000.00 pour les deux week-ends… Payer un camion de foin pour jeter de la poudre aux yeux, et ramasser en première mise 36 milliards (Sans compter ce qui se trame hors comptabilité FEA et au nom de cette dernière…), c’est trop cher payé le ballot de foin pour cette mascarade qui n’a que trop duré. Mais la grande question qui s’impose, c’est de savoir d’où viendrait tout cet argent ?
Tout porte à croire, et selon plusieurs recoupements, qu’il ne s’agirait que des fameux 23 milliards dus depuis plusieurs années par la société des courses, et qui plus qu’un reliquat, est un véritable héritage des précédents exercices, et qui selon certains, ne serait que la part qui reviendrait de plein droit, à la seule équitation traditionnelle. Ce qui met en doute sur la tenue de ces concours, est que ces 23 milliards ne sont pas encore dans les caisses de la FEA, alors qu’il avait déjà programmé leur dilapidation, les engouffrant dans ces ses démarches et calculs.
La mobilisation des présidents de clubs ayant initié un mouvement sans précédent, inquiets de l’avenir de leur discipline, met le clan Metidji et son bureau sur la sellette et sous observation. L’implication des médiats, ne manquera pas d’alerter l’opinion publique et donc d’imposer aux autorités de prendre des mesures.
L’équitation moderne ayant « mangé » son dû et celui de la traditionnelle, surtout les dernières années avec cette gestion métdjienne inadaptée et démesurée. Alors sous les feux de l’actualité, M’hamed Zoubir renoncera à SON concours, ou sortira les milliards de la famille ? Car aller donner 36 milliards aux étrangers dans la conjoncture, parait infaisable.
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