Nul n’ignore que la position claire et tranchée de présidents de clubs a mis mal à l’aise le bureau fédération équestre FEA, en particulier son président fortement contesté.
Le 15 mars 2018, la FEA a publié un communiqué dans le but de faire diversion.
Afin d'éclairer l'opinion, il est utile d’y répondre :
Avec la meilleure volonté du monde, en essayant d’être le plus indulgents possible, il n’y a rien, mais rien de bon dans ce que le bureau fédéral a fait depuis la venue de M’hamedMetidji à sa tête.
Des rapports accablants ont été transmis au MJS ( Ministère de la Jeunesse et des Sports), relevant une liste énorme de manquements.
Le président de la FEA continue à faire ce que bon lui semble, avec les mêmes procédés, la même absence de transparence, et pour l’instant, sans encore rendre de compte…
On a eu l’annulation du CSI de Mostaganem sous prétexte qu’il y a des problèmes dans les clubs.
Beaucoup de gens ont dépensé leurs énergies, en critiques, attaques, voire insultes, depuis l’arrivée à la fédération de l’actuel président, ignorant des choses de l’équitation, et de l’intimité du cheval.
Alors critiquer pour critiquer, critiquer par réflexe, par bêtise, par jalousie, parce que la fédération n’a pas été au service de son égo et de ses intérêts personnels, ou critiquer pour avancer, et dénoncer l’absence de vision, de clarté, de dynamique.. ?
La fédération sportive, par essence, existe pour le développement de sa discipline, et non pas pour la promotion sociale des membres de son bureau, leur réhabilitation, ou pour servir de tremplin pour une carrière au comité olympique, accéder à la FEI, rencontrer des ministres, ou s’offrir le ridicule d’offrir un cheval ( payé par qui.. ?) à un président absent, sous la couverture médiatique de la télévision de l’état…