Les humains ne sont pas très justes, et les sportifs toutes disciplines confondues s’adonnent souvent à des pratiques répréhensibles.
L’ambition démesurée, le vice, ou l’incompétence mènent parfois à des dopings, de la maltraitance, voire un comportement barbare, qui peut commencer par barrer un cheval, dans le jargon du saut d’obstacles, ou de lacérer les flancs d’un pauvre animal avec des instruments relevant plus de la torture que de l’art équestre.
Il y a ceux qui cèdent aux tentations et aux appels des démons, ceux qui récidivent, et ceux qui font de ces attitudes, une méthode d’entrainement, un mode de vie.
Dans les pays organisés, ces tendances ne disparaissent pas, mais les systèmes de contrôle tentent de faire face à cette réalité.
La question qui se pose est de savoir pourquoi, la FEA qui pourtant est affiliée à la FEI, n’émet la moindre sanction, le moindre avertissement, ni la moindre tentative de faire prendre conscience a ceux qui ont recours à ces comportements chez les cavaliers de l’équitation dite traditionnelle ?
Ils sont une majorité à aimer leurs chevaux, nombreux à bien les traiter, mais la minorité déviante existe bel et bien. Pourquoi le bureau fédéral qui doit se situer en harmonie avec les standards internationaux ne fait RIEN pour froisser de la moindre des façons qui que ce soit dans la famille équestre traditionnelle ?
Quête du pouvoir, et volonté de puissance quand tu nous tiens!
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