Pour ceux qui suivent l’actualité, vous aurez remarqué que face aux dérives de vos pratiques (principalement celles de votre président, mais comme vous ne vous en démarquez pas, vous êtes considérés comme solidaires), une tentative de remise sur rail de notre fédération est en route, par des écrits, ainsi que d’autres actions, passant par un éclairage, une prise de conscience.

Dans ce que vous faites, il n’y a pas que du mauvais, même si le bon est peu visible ou pour ainsi dire presque inexistant, mais il y a aussi du très mauvais !

Dans tout cela, il y a le fait du risque (qui ne tente rien n’a rien !), de l’incompétence, de la négligence,  mais qu’à cela ne tienne, ce ne sera pas la première institution qui verra ses normes de gestion bafouées.

Sur la manière de dépenser les 19milliards du budget, il y a à dire et à redire.

A la différence de toutes les dépenses, il y en a une qui reste inadmissible, et sur laquelle il faudra revenir avec insistance, en cherchant solution à cette faille, ce gaspillage, l’élan d’irresponsabilité qui a présidé à ce non-sens.

On ne sait pas encore comment procéder, on l’avoue, mais on y réfléchit, on cherche la démarche la plus efficace, dans la légalité bien sur.

Une pétition ( cavaliers, dirigeants…), une plainte, une lettre aux autorités, ameuter la presse, et d’autres idées s’opposent ou s’associent dans cette démarche, mais le plus logique, et le plus juste, est de demander à l’ensemble des membres du bureau, de mettre la main à la poche, et d’allonger les 2milliards 600 millions avec lesquels ils ont été jouer, peut être dans la seule optique de voir mettre la signature de Mr Metidji à côté de celle de Mr Bouteflika ?

Dépenser une pareille somme dans une telle action étant bien sur inattendu et sans aucune retombée positive, relève de la responsabilité des membres de ce bureau de l’avoir accordé.

Le bureau en entier, avec à leur tête Mr Metidji, doivent assumer leur acte, et rembourser cet argent ! Ce serait trop facile d’être responsable de tout, de monopoliser le pouvoir de décision, tout en n’étant responsable de rien !

Si une vente espérée est sensée rembourser cette folle dépense, elle pourrait revenir en toute logique dans la poche de ses investisseurs, au prorata de leur participation bien sûr, et les bénéfices inhérents aussi, bien évidement.

En attendant, ce livre est en train de croupir dans les bureaux de la FEA, agencé dans des cartons, au risque de partir dans une inondation. Ce serait peut être la bonne issue pour le bureau, s’il avait pris le soin de contracter une bonne assurance.

En mon nom personnel, en attendant que d’autres se joignent et nous rejoignent, avant de savoir si une action ou l’autre sera choisie pour faire sortir au grand jour cette autre histoire, j’invite les membres du bureau de la FEA, à récupérer ces livres, à les stocker chez eux ou là où bon leur semblera, mais surtout, de commencer par s’acquitter du solde de 2 milliards 600 millions, au plus vite !

Vous invitez les autorités à ouvrir un débat, pourquoi ne l’acceptez-vous pas au sein de notre instance fédérale ? Nous pourrions discuter de la manière la plus judicieuse d’investir cette somme sur une vraie équipe nationale et la formation,  sitôt cette somme recouverte !

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